Evaluation of the Allplex™ Genital Ulcer Assay from Seegene

Interview with Dr. Marianne Affolter, MCL Niederwangen

 

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INTERVIEW MIT FRAU DR. MARIANNE AFFOLTER, MCL NIEDERWANGEN

Frau Dr. Affolter, Sie haben vor kurzem den neuen Seegene Allplex™ Genital Ulcer Test evaluiert und setzen den Test nun bereits in der Routine ein. Können Sie uns kurz beschreiben, was das Ziel dieser Evaluation war und wie Sie diese Erreger vorher diagnostiziert haben?
Es war uns ein Anliegen, auf zukünftige Anfragen vorbereitet zu sein. Zudem wollten wir unser Portfolio erweitern, da z.B. Haemophilus ducreyi, Treponema pallidum und Lymphogranuloma venereum (LGV) bis anhin nicht in unserem Angebot waren. Wir haben zwar noch nicht sehr viele Proben, doch das neue Panel verbessert unseren Service und vereinfacht die interne Laborlogistik. Ein grosser Vorteil ist, dass wir die Allplex™ Genital Ulcer Proben gleichzeitig mit unseren Allplex™ STI Essential Proben laufen lassen können. Daher konnten wir den neuen Test optimal in unsere Routine einführen. Spezifische Anfragen für HSV, VZV und CMV laufen weiterhin mit kommerziellen Einzel-PCRs.
Wie wichtig ist heutzutage die Diagnostik von selteneren sexuell übertragbaren Krankheiten in der Schweiz?
Sehr wichtig. Gerade letzten November beim Roche Molecular Solutions Symposium in Rotkreuz wurde thematisiert, dass seltene sexuell übertragbare Krankheiten heute häufiger diagnostiziert werden als früher. Vor allem bei Hochrisikopopulationen (MSM, Female Sex Workers) lohnt es sich, auch auf seltene sexuell übertragbare Krankheiten zu testen.
Wie schätzen Sie den Vorteil des Multiplexing von 7 Pathogenen in einem Tube ein?
Diese Möglichkeit ist sehr nützlich für sogenannte Incidental Findings. Dazu kann ich Ihnen ein Beispiel geben. Bei einer oralen Probe mit Verdacht auf Treponema pallidum haben wir mit der Multiplex-PCR einen C. trachomatis LGV Genotyp gefunden. Auf Lymphogranuloma venereum allein testen wir nicht. Erst nach einem positiven C. trachomatis Resultat wird allenfalls eine LGV Typisierung gewünscht. Daher hätten wir in diesem Fall mit Einzel-PCRs niemals so schnell eine Diagnose stellen können oder hätten den Erreger verpasst. Am meisten Anfragen haben wir für T. pallidum, oft zusammen mit H. ducreyi.
Wie wichtig ist die quantitative Aussage mittels Ct-Werte beim STI-GU Assay Ihrer Meinung nach? Geben Sie diese Werte an Ihre Ärzteschaft weiter?
Nein, die Ct-Werte werden nicht an die Ärzte weitergegeben. Für die Kunden sind die Ct-Werte nicht relevant. Für uns als Laboratorium jedoch sehr wohl, gerade bei Mehrfachinfektionen. Wenn zum Beispiel eine Probe stark positiv für T. pallidum oder HSV ist und noch ein ganz schwacher Cytomegalovirus nachgewiesen wird, dann handelt es sich dabei höchstwahrscheinlich um eine einfache Virusausscheidung von CMV. Bei anderen Panel Tests, die zum Beispiel nur eine Schmelzkurve beinhalten, ist es viel schwieriger die Relevanz der einzelnen Erreger abzuschätzen, wenn man mehrere positive Resultate hat.
Zusätzlich nutzen Sie den Allplex™ STI-Essential Assay, welcher nebst CT/NG, in einem Tube, fünf weitere wichtige Pathogene im Bereich STI detektiert. Wie zufrieden sind Sie mit dem Allplex™ STI-EA und ist es für Sie ein Vorteil, dass dieser parallel mit dem Allplex™ STI-GU Assay gemacht werden kann?
Wie oben erwähnt, schätzen wir diesen Vorteil, da es sehr praktisch ist für die Logistik im Labor. Wir sind eigentlich sehr zufrieden. Auch hier würden wir meist nicht spezifisch auf M. genitalium oder T. vaginalis testen aber Zufallsbefunde kommen immer mal wieder vor. Mit den semiquantitativen Resultaten für Mycoplasmen und Ureaplasmen hat der Kunde eine zusätzliche Information zur Verfügung. (Ein Vergleich zwischen den Ct-Werten des Allplex™ Tests und den semiquantitativen Aussagen des Anyplex™ II Tests wurde durchgeführt und dieser zeigte eine sehr gute Korrelation). Problematisch wird es bei U. parvum, der sehr häufig positiv ist. Die Frage stellt sich, ob ein stark positiver Wert von Bedeutung ist. Auch dazu ein Beispiel: bei einer Untersuchung nach Abort wurde einzig U. parvum gefunden. Die üblichen Verdächtigen konnten nicht detektiert werden. In diesem Fall überlegt man sich, ob U. parvum doch eine gewisse Rolle spielt, wo er bei anderen Fällen oft irrelevant ist.
Wie zufrieden sind Sie mit dem Service und Support von BÜHLMANN?
Der Service ist top. Vor allem der Applikationssupport reagiert schnell und ist sehr kompetent, bei Bedarf sogar vor Ort. Das ist nicht selbstverständlich und lange nicht bei jedem Anbieter so.
Vielen Dank für das Interview.

ENTRETIEN AVEC DR. MARIANNE AFFOLTER, MCL NIEDERWANGEN

Dr. Affolter, vous avez récemment évalué le nouveau test Seegene Allplex™ – Ulcération Génitale (STI-GU) – et vous venez de le mettre en routine. Pourriez-vous brièvement décrire quel était l’objectif de cette évaluation et de quelle manière dont vous diagnostiquiez ces pathogènes auparavant ?
Il était important pour notre laboratoire de pouvoir faire face aux futures demandes de nos clients. Nous voulions également élargir notre gamme de tests proposés. Les tests pour Haemophilus ducreyi, Treponema pallidum et Lymphogranuloma venereum (LGV) n’étaient pas inclus dans ce que nous offrions jusqu’à maintenant. Nous n’avons pas encore beaucoup d’échantillons, mais le nouveau panel améliore notre palette de services aux médecins et simplifie la logistique interne du laboratoire. Un des grand avantages de ce test est que nous puissions exécuter simultanément les échantillons d’ulcères génitaux Allplex™ STI-GU avec les échantillons Allplex™ STI Essential (STI-EA). Cet élément nous a permis d’introduire de manière optimale ce nouveau test en routine. Les demandes spécifiques pour le HSV, le VZV et le CMV continuent à être traitées par des PCR unitaires commerciales.
Quelle est l’importance du diagnostic des maladies rares sexuellement transmissibles en Suisse aujourd’hui?
Très grande. En novembre dernier, lors du symposium de Roche « Molecular Solutions » à Rotkreuz, il a été indiqué que les maladies rares sexuellement transmissibles sont, de nos jours, diagnostiquées plus fréquemment que par le passé. En particulier dans les populations à haut risque (HSH, femmes travailleuses du sexe). Il est donc nécessaire d’offrir une méthode fiable permettant le diagnostic de ces infections rares sexuellement transmissibles.
Quel est l’avantage d’avoir un multiplexe de 7 pathogènes dans 1 panel et quel est l’avantage de multiplexer 7 pathogènes dans un tube?
Cette option est très utile pour ce que l’on appelle la découverte fortuite. Je vous donne un exemple: grâce à l’utilisation d’une PCR multiplex pour analyser un échantillon suspecté de Treponema pallidum, nous avons trouvé le génotype LGV de C. trachomatis. Généralement nous n’effectuons pas de test pour le lymphogranulome vénérien (LGV) seul. Ce n’est qu’après avoir obtenu un résultat positif pour le C. trachomatis que le typage du LGV est effectué. Dans le cas de ce patient, en effectuant uniquement une PCR unitaire, nous aurions manqué la détection de ce pathogène et n’aurions pas pu établir un diagnostic aussi rapide. Les analyses les plus demandées sont souvent pour T. pallidum et H. ducreyi.
Selon vous, quelle est l’importance d’un résultat quantitatif obtenu grâce aux valeurs Ct individuelles indiquées pour chacun des pathogènes, dans le test STI-GU? Transmettez-vous ces valeurs dans les rapports rendus aux professionnels médicaux?
Non, les valeurs Ct ne sont pas transmises aux médecins. Pour nos clients, les valeurs Ct ne semblent pas encore être utiles. Pour nous, en tant que laboratoire, les valeurs Ct sont importantes, surtout lors d’infections multiples. En effet, si un échantillon est hautement positif pour T. pallidum ou HSV mais faiblement positif pour un cytomégalovirus, il s’agit très probablement d’une simple sécrétion virale de CMV. Avec d’autres tests multiplex qui ne fournissent qu’une courbe de fusion, il est beaucoup plus difficile d’estimer la prévalence des pathogènes individuels lorsque l’on a plusieurs résultats positifs.
Vous utilisez également le test Allplex™ STI-Essential (STI-EA) qui, en plus des CT / NG, détecte cinq autres pathogènes IST importants en 1 seul tube. Etes-vous satisfait du test Allplex™ STI-EA et est- ce un avantage de pouvoir effectuer ce test simultanément avec le test Allplex™ STI-GU?
Comme indiqué ci-dessus, nous apprécions cet avantage car il permet une meilleure logistique dans notre laboratoire. Nous sommes vraiment très satisfaits car nous ne testerions pas spécifiquement le M. genitalium ou le T. vaginalis, mais le fait qu’ils soient compris dans le panel permet de les détecter relativement régulièrement. De plus avec les résultats semi-quantitatifs obtenus pour les mycoplasmes et les ureaplasmes, le client dispose d’informations supplémentaires importantes. (Une comparaison entre les valeurs Ct du test AllplexTM et les déclarations semi-quantitatives du test Anyplex™ II a été effectuée et a pu démontrer une très bonne corrélation). La problématique avec U. parvum, très souvent positif, est différente. La question est de savoir si une valeur fortement positive est significative. L’exemple qui suit le démontre: lors d’un examen après un avortement, seul U. parvum a été retrouvé. Les pathogènes habituellement suspectés n’ont pas pu être détectés. Nous nous sommes donc posés la question de savoir si U. parvum avait pu jouer un certain rôle, en sachant que dans d’autres cas il est souvent sans importance.
Êtes-vous satisfait du service et du soutien de BÜHLMANN?
Le service est excellent. Surtout le groupe « support d’applications » qui réagit de manière efficace, très compétente et rapide, et se déplace également au labo si nécessaire. Ce qui n’est pas toujours le cas avec d’autres fournisseurs.
Nous vous remercions pour cet entretien.

INTERVISTA CON LA DOTT.SSA MARIANNE AFFOLTER, MCL NIEDERWANGEN

Dott.ssa Affolter, lei recentemente ha valutato il nuovo test Allplex™ Genital Ulcer di Seegene e ora sta già usando il test nella pratica di routine. Puo descrivere brevemente quale era l’obiettivo di questa valutazione e in che modo diagnosticava precedentemente questi agenti patogeni?
Per noi era importante essere preparati per le richieste future. Volevamo espandere il nostro portafoglio dal momento che, per esempio, Haemophilus ducreyi, Treponema pallidum e Lymphogranuloma venereum (LGV) non erano presenti nella nostra offerta. Sebbene non abbiamo ancora molti campioni, il nuovo pannello migliora il nostro servizio e semplifica la logistica interna del laboratorio. Un grande vantaggio è che possiamo eseguire i campioni Allplex™ Genital Ulcer simultaneamente con i nostri campioni Allplex™ STI Essential. Pertanto, siamo stati in grado di introdurre in modo ottimale il nuovo test nella nostra routine. Richieste specifiche per HSV, VZV e CMV continuano a essere eseguite con PCR singole commerciali.
Quanto è importante oggi la diagnosi delle malattie sessualmente trasmissibili rare in Svizzera?
Molto importante. Proprio lo scorso novembre al Roche Molecular Solutions Symposium a Rotkreuz è stato discusso che le malattie sessualmente trasmissibili rare vengono diagnosticate più frequentemente oggi rispetto al passato. Soprattutto nelle popolazioni ad alto rischio (MSM, Female Sex Workers) vale la pena testare malattie rare trasmesse per via sessuale.
Come valuta il beneficio del Multiplexing di 7 patogeni in una provetta?
Questa opzione è molto utile per il cosiddetto reperimento casuale. Posso darle un esempio. In un campione orale sospettato di Treponema pallidum, abbiamo trovato un genotipo LGV C.trachomatis usando multiplex PCR. Non testiamo solamente il linfogranuloma venereum. Al massimo dopo un risultato positivo per C. trachomatis viene richiesta la digitazione LGG. Pertanto, in questo caso, non avremmo mai potuto fare una diagnosi così rapida con PCR singola o avremmo perso l’agente patogeno. La maggior parte delle richieste che abbiamo per T. pallidum ducreyi è spesso insieme a H. ducreyi.
Quanto è importante la determinazione quantitativa per mezzo dei valori Ct nel test STI-GU secondo lei? Trasmette questi valori ai vostri medici?
No, i valori Ct non vengono trasmessi ai medici. Per i clienti, i valori Ct non sono rilevanti. Per noi come laboratorio, invece, lo sono molto, soprattutto nei casi d’infezioni multiple. Ad esempio, se un campione è altamente positivo per T. pallidum o HSV e viene rilevato un citomegalovirus molto debole, è molto probabile una semplice secrezione virale di CMV. In altri panel test, che per esempio includono solo una curva di fusione, è molto più difficile stimare la rilevanza dei singoli patogeni, se si hanno diversi risultati positivi.
Inoltre usa il test Allplex™ STI Essential, che oltre a CT / NG, in un unico tubo, rileva altri cinque importanti agenti patogeni nell’area STI. Quanto è soddisfatta del test Allplex™ STI-EA e lo considera un vantaggio il poter essere eseguito in parallelo con il test Allplex™ STI-GU?
Come accennato in precedenza, apprezziamo questo vantaggio in quanto è molto conveniente per la logistica in laboratorio. Siamo veramente soddisfatti. Anche qui, non verificheremo specificamente per M. genitalium o T. vaginalis, ma i risultati casuali si verificano ripetutamente. Con i risultati semiquantitativi di micoplasmi e ureaplasmi, il cliente ha a disposizione ulteriori informazioni. É stato eseguito un confronto tra i valori Ct del test Allplex™ e le dichiarazioni semiquantitative del test Anyplex™ II, che ha mostrato una correlazione molto buona. Diventa problematico con U. parvum, che è molto spesso positivo. Si pone la domanda se un forte valore positivo è importante. Ecco un altro esempio: in un esame dopo un aborto è stato trovato solo U. parvum. Non sono stati rilevati i soliti sospetti. In questo caso si considera se U. parvum svolge un certo ruolo, in cui è spesso irrilevante in altri casi.
Quanto è soddisfatta del servizio e dell’assistenza di BÜHLMANN?
Il servizio è fantastico. Soprattutto, il supporto tecnico risponde rapidamente ed è molto competente, se necessario interviene anche sul sito. Questo non è scontato e non vale per tutti gli altri fornitori.
Grazie per l’intervista.

Evaluation of the Allplex™ Genital Ulcer Assay from Seegene

Interview with Dr. Marianne Affolter, MCL Niederwangen

 

Deutsch Français Italiano

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INTERVIEW MIT FRAU DR. MARIANNE AFFOLTER, MCL NIEDERWANGEN

Frau Dr. Affolter, Sie haben vor kurzem den neuen Seegene Allplex™ Genital Ulcer Test evaluiert und setzen den Test nun bereits in der Routine ein. Können Sie uns kurz beschreiben, was das Ziel dieser Evaluation war und wie Sie diese Erreger vorher diagnostiziert haben?
Es war uns ein Anliegen, auf zukünftige Anfragen vorbereitet zu sein. Zudem wollten wir unser Portfolio erweitern, da z.B. Haemophilus ducreyi, Treponema pallidum und Lymphogranuloma venereum (LGV) bis anhin nicht in unserem Angebot waren. Wir haben zwar noch nicht sehr viele Proben, doch das neue Panel verbessert unseren Service und vereinfacht die interne Laborlogistik. Ein grosser Vorteil ist, dass wir die Allplex™ Genital Ulcer Proben gleichzeitig mit unseren Allplex™ STI Essential Proben laufen lassen können. Daher konnten wir den neuen Test optimal in unsere Routine einführen. Spezifische Anfragen für HSV, VZV und CMV laufen weiterhin mit kommerziellen Einzel-PCRs.
Wie wichtig ist heutzutage die Diagnostik von selteneren sexuell übertragbaren Krankheiten in der Schweiz?
Sehr wichtig. Gerade letzten November beim Roche Molecular Solutions Symposium in Rotkreuz wurde thematisiert, dass seltene sexuell übertragbare Krankheiten heute häufiger diagnostiziert werden als früher. Vor allem bei Hochrisikopopulationen (MSM, Female Sex Workers) lohnt es sich, auch auf seltene sexuell übertragbare Krankheiten zu testen.
Wie schätzen Sie den Vorteil des Multiplexing von 7 Pathogenen in einem Tube ein?
Diese Möglichkeit ist sehr nützlich für sogenannte Incidental Findings. Dazu kann ich Ihnen ein Beispiel geben. Bei einer oralen Probe mit Verdacht auf Treponema pallidum haben wir mit der Multiplex-PCR einen C. trachomatis LGV Genotyp gefunden. Auf Lymphogranuloma venereum allein testen wir nicht. Erst nach einem positiven C. trachomatis Resultat wird allenfalls eine LGV Typisierung gewünscht. Daher hätten wir in diesem Fall mit Einzel-PCRs niemals so schnell eine Diagnose stellen können oder hätten den Erreger verpasst. Am meisten Anfragen haben wir für T. pallidum, oft zusammen mit H. ducreyi.
Wie wichtig ist die quantitative Aussage mittels Ct-Werte beim STI-GU Assay Ihrer Meinung nach? Geben Sie diese Werte an Ihre Ärzteschaft weiter?
Nein, die Ct-Werte werden nicht an die Ärzte weitergegeben. Für die Kunden sind die Ct-Werte nicht relevant. Für uns als Laboratorium jedoch sehr wohl, gerade bei Mehrfachinfektionen. Wenn zum Beispiel eine Probe stark positiv für T. pallidum oder HSV ist und noch ein ganz schwacher Cytomegalovirus nachgewiesen wird, dann handelt es sich dabei höchstwahrscheinlich um eine einfache Virusausscheidung von CMV. Bei anderen Panel Tests, die zum Beispiel nur eine Schmelzkurve beinhalten, ist es viel schwieriger die Relevanz der einzelnen Erreger abzuschätzen, wenn man mehrere positive Resultate hat.
Zusätzlich nutzen Sie den Allplex™ STI-Essential Assay, welcher nebst CT/NG, in einem Tube, fünf weitere wichtige Pathogene im Bereich STI detektiert. Wie zufrieden sind Sie mit dem Allplex™ STI-EA und ist es für Sie ein Vorteil, dass dieser parallel mit dem Allplex™ STI-GU Assay gemacht werden kann?
Wie oben erwähnt, schätzen wir diesen Vorteil, da es sehr praktisch ist für die Logistik im Labor. Wir sind eigentlich sehr zufrieden. Auch hier würden wir meist nicht spezifisch auf M. genitalium oder T. vaginalis testen aber Zufallsbefunde kommen immer mal wieder vor. Mit den semiquantitativen Resultaten für Mycoplasmen und Ureaplasmen hat der Kunde eine zusätzliche Information zur Verfügung. (Ein Vergleich zwischen den Ct-Werten des Allplex™ Tests und den semiquantitativen Aussagen des Anyplex™ II Tests wurde durchgeführt und dieser zeigte eine sehr gute Korrelation). Problematisch wird es bei U. parvum, der sehr häufig positiv ist. Die Frage stellt sich, ob ein stark positiver Wert von Bedeutung ist. Auch dazu ein Beispiel: bei einer Untersuchung nach Abort wurde einzig U. parvum gefunden. Die üblichen Verdächtigen konnten nicht detektiert werden. In diesem Fall überlegt man sich, ob U. parvum doch eine gewisse Rolle spielt, wo er bei anderen Fällen oft irrelevant ist.
Wie zufrieden sind Sie mit dem Service und Support von BÜHLMANN?
Der Service ist top. Vor allem der Applikationssupport reagiert schnell und ist sehr kompetent, bei Bedarf sogar vor Ort. Das ist nicht selbstverständlich und lange nicht bei jedem Anbieter so.
Vielen Dank für das Interview.

ENTRETIEN AVEC DR. MARIANNE AFFOLTER, MCL NIEDERWANGEN

Dr. Affolter, vous avez récemment évalué le nouveau test Seegene Allplex™ – Ulcération Génitale (STI-GU) – et vous venez de le mettre en routine. Pourriez-vous brièvement décrire quel était l’objectif de cette évaluation et de quelle manière dont vous diagnostiquiez ces pathogènes auparavant ?
Il était important pour notre laboratoire de pouvoir faire face aux futures demandes de nos clients. Nous voulions également élargir notre gamme de tests proposés. Les tests pour Haemophilus ducreyi, Treponema pallidum et Lymphogranuloma venereum (LGV) n’étaient pas inclus dans ce que nous offrions jusqu’à maintenant. Nous n’avons pas encore beaucoup d’échantillons, mais le nouveau panel améliore notre palette de services aux médecins et simplifie la logistique interne du laboratoire. Un des grand avantages de ce test est que nous puissions exécuter simultanément les échantillons d’ulcères génitaux Allplex™ STI-GU avec les échantillons Allplex™ STI Essential (STI-EA). Cet élément nous a permis d’introduire de manière optimale ce nouveau test en routine. Les demandes spécifiques pour le HSV, le VZV et le CMV continuent à être traitées par des PCR unitaires commerciales.
Quelle est l’importance du diagnostic des maladies rares sexuellement transmissibles en Suisse aujourd’hui?
Très grande. En novembre dernier, lors du symposium de Roche « Molecular Solutions » à Rotkreuz, il a été indiqué que les maladies rares sexuellement transmissibles sont, de nos jours, diagnostiquées plus fréquemment que par le passé. En particulier dans les populations à haut risque (HSH, femmes travailleuses du sexe). Il est donc nécessaire d’offrir une méthode fiable permettant le diagnostic de ces infections rares sexuellement transmissibles.
Quel est l’avantage d’avoir un multiplexe de 7 pathogènes dans 1 panel et quel est l’avantage de multiplexer 7 pathogènes dans un tube?
Cette option est très utile pour ce que l’on appelle la découverte fortuite. Je vous donne un exemple: grâce à l’utilisation d’une PCR multiplex pour analyser un échantillon suspecté de Treponema pallidum, nous avons trouvé le génotype LGV de C. trachomatis. Généralement nous n’effectuons pas de test pour le lymphogranulome vénérien (LGV) seul. Ce n’est qu’après avoir obtenu un résultat positif pour le C. trachomatis que le typage du LGV est effectué. Dans le cas de ce patient, en effectuant uniquement une PCR unitaire, nous aurions manqué la détection de ce pathogène et n’aurions pas pu établir un diagnostic aussi rapide. Les analyses les plus demandées sont souvent pour T. pallidum et H. ducreyi.
Selon vous, quelle est l’importance d’un résultat quantitatif obtenu grâce aux valeurs Ct individuelles indiquées pour chacun des pathogènes, dans le test STI-GU? Transmettez-vous ces valeurs dans les rapports rendus aux professionnels médicaux?
Non, les valeurs Ct ne sont pas transmises aux médecins. Pour nos clients, les valeurs Ct ne semblent pas encore être utiles. Pour nous, en tant que laboratoire, les valeurs Ct sont importantes, surtout lors d’infections multiples. En effet, si un échantillon est hautement positif pour T. pallidum ou HSV mais faiblement positif pour un cytomégalovirus, il s’agit très probablement d’une simple sécrétion virale de CMV. Avec d’autres tests multiplex qui ne fournissent qu’une courbe de fusion, il est beaucoup plus difficile d’estimer la prévalence des pathogènes individuels lorsque l’on a plusieurs résultats positifs.
Vous utilisez également le test Allplex™ STI-Essential (STI-EA) qui, en plus des CT / NG, détecte cinq autres pathogènes IST importants en 1 seul tube. Etes-vous satisfait du test Allplex™ STI-EA et est- ce un avantage de pouvoir effectuer ce test simultanément avec le test Allplex™ STI-GU?
Comme indiqué ci-dessus, nous apprécions cet avantage car il permet une meilleure logistique dans notre laboratoire. Nous sommes vraiment très satisfaits car nous ne testerions pas spécifiquement le M. genitalium ou le T. vaginalis, mais le fait qu’ils soient compris dans le panel permet de les détecter relativement régulièrement. De plus avec les résultats semi-quantitatifs obtenus pour les mycoplasmes et les ureaplasmes, le client dispose d’informations supplémentaires importantes. (Une comparaison entre les valeurs Ct du test AllplexTM et les déclarations semi-quantitatives du test Anyplex™ II a été effectuée et a pu démontrer une très bonne corrélation). La problématique avec U. parvum, très souvent positif, est différente. La question est de savoir si une valeur fortement positive est significative. L’exemple qui suit le démontre: lors d’un examen après un avortement, seul U. parvum a été retrouvé. Les pathogènes habituellement suspectés n’ont pas pu être détectés. Nous nous sommes donc posés la question de savoir si U. parvum avait pu jouer un certain rôle, en sachant que dans d’autres cas il est souvent sans importance.
Êtes-vous satisfait du service et du soutien de BÜHLMANN?
Le service est excellent. Surtout le groupe « support d’applications » qui réagit de manière efficace, très compétente et rapide, et se déplace également au labo si nécessaire. Ce qui n’est pas toujours le cas avec d’autres fournisseurs.
Nous vous remercions pour cet entretien.

INTERVISTA CON LA DOTT.SSA MARIANNE AFFOLTER, MCL NIEDERWANGEN

Dott.ssa Affolter, lei recentemente ha valutato il nuovo test Allplex™ Genital Ulcer di Seegene e ora sta già usando il test nella pratica di routine. Puo descrivere brevemente quale era l’obiettivo di questa valutazione e in che modo diagnosticava precedentemente questi agenti patogeni?
Per noi era importante essere preparati per le richieste future. Volevamo espandere il nostro portafoglio dal momento che, per esempio, Haemophilus ducreyi, Treponema pallidum e Lymphogranuloma venereum (LGV) non erano presenti nella nostra offerta. Sebbene non abbiamo ancora molti campioni, il nuovo pannello migliora il nostro servizio e semplifica la logistica interna del laboratorio. Un grande vantaggio è che possiamo eseguire i campioni Allplex™ Genital Ulcer simultaneamente con i nostri campioni Allplex™ STI Essential. Pertanto, siamo stati in grado di introdurre in modo ottimale il nuovo test nella nostra routine. Richieste specifiche per HSV, VZV e CMV continuano a essere eseguite con PCR singole commerciali.
Quanto è importante oggi la diagnosi delle malattie sessualmente trasmissibili rare in Svizzera?
Molto importante. Proprio lo scorso novembre al Roche Molecular Solutions Symposium a Rotkreuz è stato discusso che le malattie sessualmente trasmissibili rare vengono diagnosticate più frequentemente oggi rispetto al passato. Soprattutto nelle popolazioni ad alto rischio (MSM, Female Sex Workers) vale la pena testare malattie rare trasmesse per via sessuale.
Come valuta il beneficio del Multiplexing di 7 patogeni in una provetta?
Questa opzione è molto utile per il cosiddetto reperimento casuale. Posso darle un esempio. In un campione orale sospettato di Treponema pallidum, abbiamo trovato un genotipo LGV C.trachomatis usando multiplex PCR. Non testiamo solamente il linfogranuloma venereum. Al massimo dopo un risultato positivo per C. trachomatis viene richiesta la digitazione LGG. Pertanto, in questo caso, non avremmo mai potuto fare una diagnosi così rapida con PCR singola o avremmo perso l’agente patogeno. La maggior parte delle richieste che abbiamo per T. pallidum ducreyi è spesso insieme a H. ducreyi.
Quanto è importante la determinazione quantitativa per mezzo dei valori Ct nel test STI-GU secondo lei? Trasmette questi valori ai vostri medici?
No, i valori Ct non vengono trasmessi ai medici. Per i clienti, i valori Ct non sono rilevanti. Per noi come laboratorio, invece, lo sono molto, soprattutto nei casi d’infezioni multiple. Ad esempio, se un campione è altamente positivo per T. pallidum o HSV e viene rilevato un citomegalovirus molto debole, è molto probabile una semplice secrezione virale di CMV. In altri panel test, che per esempio includono solo una curva di fusione, è molto più difficile stimare la rilevanza dei singoli patogeni, se si hanno diversi risultati positivi.
Inoltre usa il test Allplex™ STI Essential, che oltre a CT / NG, in un unico tubo, rileva altri cinque importanti agenti patogeni nell’area STI. Quanto è soddisfatta del test Allplex™ STI-EA e lo considera un vantaggio il poter essere eseguito in parallelo con il test Allplex™ STI-GU?
Come accennato in precedenza, apprezziamo questo vantaggio in quanto è molto conveniente per la logistica in laboratorio. Siamo veramente soddisfatti. Anche qui, non verificheremo specificamente per M. genitalium o T. vaginalis, ma i risultati casuali si verificano ripetutamente. Con i risultati semiquantitativi di micoplasmi e ureaplasmi, il cliente ha a disposizione ulteriori informazioni. É stato eseguito un confronto tra i valori Ct del test Allplex™ e le dichiarazioni semiquantitative del test Anyplex™ II, che ha mostrato una correlazione molto buona. Diventa problematico con U. parvum, che è molto spesso positivo. Si pone la domanda se un forte valore positivo è importante. Ecco un altro esempio: in un esame dopo un aborto è stato trovato solo U. parvum. Non sono stati rilevati i soliti sospetti. In questo caso si considera se U. parvum svolge un certo ruolo, in cui è spesso irrilevante in altri casi.
Quanto è soddisfatta del servizio e dell’assistenza di BÜHLMANN?
Il servizio è fantastico. Soprattutto, il supporto tecnico risponde rapidamente ed è molto competente, se necessario interviene anche sul sito. Questo non è scontato e non vale per tutti gli altri fornitori.
Grazie per l’intervista.